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Du samedi jusqu'au lundi, Pour garder son mari,
Quand on a fait sans entrain, Son devoir quotidien,
Subit le propriétaire, les enfants et la belle-mère,
Le lundi viv'ment, on s'en r'vient à Thiant,
Alors brusquement, tout parait charmant.
REFRAIN
Quand on r'vient chez Jean-Jacques Rousseau,
Comme tout est beau, quel renouveau,
Dimanche au loin nous semble une prison.
On a le coeur plein de chansons.
l'odeur des feutres nous met tous à l'envers,
Et le frigo nous saoule pour pas cher,
Chagrins et peines de nos week-ends,
Tout est noyé dans le fond de nos verres.
Un lundi chez Jean-Jacques Rousseau,
Au trémolo des p'tits oiseaux,
Suffit pour que tous les jours semblent beaux,
Un lundi chez Jean-Jacques Rousseau.
J'connais des gens cafardeux, qui tout l'temps s'font des ch'veux.
Ils rêvent de filer ailleurs, Dans un monde meilleurs.
Ils dépensent des tas d'pognon-on, pour avoir leur mutation-on.
Ben moi ça m'fait mal au coeur.
Car y-a pas besoin, pour trouver un coin,
Ou l'on se trouve bien, de chercher si loin.
REFRAIN
Quand on r'vient chez Jean-Jacques Rousseau,
Comme tout est beau, quel renouveau,
Dimanche au loin nous semble une prison.
On a le coeur plein de chansons.
L'odeur des feutres nous met tous à l'envers.
Et le frigo nous saoule pour pas cher,
Chagrins et peines, de la semaine,
Tout est noyé dans le fond de nos verres. . .
MUSIQUE
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